Des informations importantes dissimulées par le maire de Saint-Éloi ?

Le Tribunal administratif de Dijon a pris une décision attestant que le maire de Saint-Éloi Jérôme Malus n’assume pas du tout sa mission de maire.

Dans son document du 10 octobre 2019, le Tribunal administratif de Dijon a fait injonction au maire de Saint-Éloi de dresser procès-verbal aux infractions au titre des règles d’urbanisme dans un délai d’un mois.

Mais Jérôme Malus n’a pas entrepris cette démarche, mettant en danger l’environnement de la commune. Et le préfet de la Nièvre non plus, alors que, à défaut d’action de la part de la mairie dans un délais d’un mois, le préfet est pourtant obligé de le faire par le tribunal administratif.

Cette décision a visiblement été cachée aux élus de l’opposition mais aussi au grand public. Il apparaît scandaleux que les conseillers municipaux majoritaires, qui ne sont sans doute pas au courant de l’affaire, fassent encore confiance au maire pour la prochaine élection. Et, si jamais ceux-ci ont eu connaissance de ce document (ce qui nous étonnerait), leur inaction serait alors la preuve de leur irresponsabilité.

Une fourberie inadmissible

Pour diffuser des informations concernant les distractions et loisirs de la commune et des alentours, le maire est bien présent. En revanche pour communiquer des données essentielles concernant la bonne gestion de Saint-Éloi, il n’y a plus personne…

Nous craignons que, depuis quatre ans, énormément d’informations importantes de ce type aient ainsi été dissimulées volontairement aux conseillers municipaux par le maire et ses adjoints. Ce serait alors une fourberie inadmissible.

Il est regrettable qu’un maire soit obligé de faire son travail par le Tribunal administratif : nous aimerions savoir pourquoi il ne fait pas ce qu’il doit faire. Y aurait-il conflit d’intérêt ?

Embellissement de la commune : des bacs à fleurs laissés à l’abandon

Depuis ces six dernières années, l’embellissement de la commune laisse à désirer. En effet, comme vous pouvez le voir sur la photo suivante, le bac à fleurs situé en bas du  hameau de Aubeterre est laissé à l’abandon et en train de se délabrer.

Malheureusement, cet endroit n’est pas le seul concerné. Notre service technique n’est plus assez doté en main d’œuvre pour embellir comme il se doit la commune. Le désherbage n’est pas fait (voir notre article sur le désherbage).

Le maire Jérôme Malus, durant son mandat de quatre ans, a totalement abandonné le service technique. D’ailleurs, s’il reste en place, la situation risque de s’empirer car il y aura plus de personnel à la médiathèque qu’à l’entretien général de notre commune. Il y a visiblement un problème de priorités.

Des travaux non réalisés depuis cinq ans

À Rémeron, un regard de collecte des eaux naturelles devrait être réalisé depuis cinq ans. Mais, malgré de nombreuses relances, la végétation s’implante dans le trou béant.

Va-t-on attendre que les racines bouchent complètement les tuyaux pour réaliser ces travaux ? Ce trou est sur le bord de la route, et donc dangereux. De plus, il empêche une circulation correcte des piétons.

Qu’a donc fait monsieur Maurice Taterczynski, chargé des travaux, depuis quatre ans ? Rien. Pourquoi autant de mauvaise volonté alors que le coût reste modeste ? De nombreux menus travaux n’ont ainsi pas été réalisés à Saint-Éloi durant ce mandat.

ÉLECTIONS MUNICIPALES : APPEL À CANDIDATURE !

La rédaction en appelle à la citoyenneté de tous les habitants de Saint-Éloi.

Notre commune mérite une meilleure gestion. Vous avez pu le constater vous-mêmes à la lecture de nos articles : il n’est plus possible de laisser faire, il faut désormais agir.

C’est pour cette raison que nous lançons un appel à candidature en vue des élections municipales de 2020.

  • Si vous vous sentez concerné par l’intérêt général ;
  • Si vous avez des idées afin de développer la vie économique de la commune ;
  • Si vous avez envie de prendre part activement à la vie de Saint-Éloi ;

venez rejoindre et soutenir la liste d’Éric Guérin ! Et devenez conseiller municipal.

Faites-vous connaître le plus tôt possible par e-mail à l’adresse suivante : eric.guerin@saint-eloi.info ou via notre formulaire de contact.

Désherbage : pourquoi le maire ne fait-il plus son travail ?

Saint-Éloi ne semble plus entretenue depuis l’interdiction du désherbage chimique en 2017. Des habitants de la commune se sont dits mécontents du laisser-aller de la mairie. Pourtant, des solutions existent, à commencer par le désherbage mécanique.

Depuis le 1er janvier 2017, la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte interdit l’utilisation des produits phytosanitaires chimiques pour l’ensemble des structures publiques (communes, départements, régions, État, établissements publics).

La commune de Saint-Éloi est bien évidemment concernée : plus question donc d’employer de désherbants toxiques. Mais cela ne signifie pas pour autant qu’il ne faille plus désherber du tout !

Des témoignages d’habitants mécontents

Or, le maire Jérôme Malus semble tout bonnement avoir laissé de côté la question du désherbage de la commune de Saint-Éloi. En effet, des témoignages nous sont remontés d’habitants mécontents de ce laisser-aller.

Notre commune mérite d’être entretenue ; cela passe par une main d’œuvre supplémentaire et du matériel pour désherber mécaniquement et thermiquement. Des solutions existent, comme l’indique par exemple ce petit guide. Mais visiblement, améliorer le cadre de vie des habitants n’est pas la priorité de Jérôme Malus…

Saint-Éloi : le dernier conseil municipal de l’équipe actuelle

Jeudi 6 février 2020, à 19 h 30, a eu lieu sans doute le dernier conseil municipal de l’équipe actuelle. Huit points étaient à l’ordre du jour, mais, préalablement, le maire a relaté toutes les réalisations faites pendant quatre ans. Une petite bourde de sa part puisqu’un maire, lors de réunions publiques, n’a pas le droit d’évoquer de la sorte les réalisations de son mandat en période pré-électorale.

Le public était nombreux par rapport à d’habitude et sans doute que notre site Saint Éloi Nièvre Infos y est pour quelque chose… Le maire, Jérôme Malus, et l’adjoint aux travaux Maurice Taterczynski, comme à leur habitude, n’ont pas manqué de lancer quelques mesquineries non républicaines et non constructives à l’égard du seul conseiller d’opposition, monsieur Éric Guérin.

Au lieu de vanter les mérites de ses réalisations en plein conseil municipal, monsieur Malus ferait mieux de lister tout ce qui reste en suspens, notamment le PLU (Plan Local d’Urbanisme). En effet, ce dernier n’est toujours pas terminé depuis quatre ans et les Éligeois et Éligeoises méritent de connaître les raisons de cette lenteur. Nous reviendrons plus en détail dans un prochain article sur les décisions prises lors de ce dernier conseil.

Pourquoi le tout-à-l’égout est indispensable à Saint-Éloi

À Saint-Éloi, la zone de Trangy-Rémeron-Venille-Aubeterre ne bénéficie pas du tout-à-l’égout. Une aberration quand on voit la densité des maisons et qu’on sait qu’un mauvais traitement des eaux usées peut entraîner de graves problèmes de santé.

Sur la zone de Trangy-Rémeron-Venille-Aubeterre, il n’y a pas de tout-à-l’égout. Il existe seulement des assainissements individuels. Or, du fait de la concentration de l’habitat (surtout dans les hameaux de Trangy, Aubeterre et Rémeron) et de l’ancienneté des installations, le risque sanitaire est certain. Depuis plus de 25 ans, Éric Guérin ne cesse d’alerter à ce sujet.

L’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) l’indique : « Les eaux usées peuvent être chargées en micro-organismes pathogènes et/ou substances chimiques présentant des risques pour la santé humaine. En conséquence, elles doivent être collectées, et traitées avant leur rejet vers le milieu naturel. »

En effet, les enjeux sanitaires sont essentiels : la production d’eau potable est, par exemple, particulièrement sensible à la qualité des eaux de surface et peut être indirectement impactée par les rejets liés à l’assainissement. Or, lorsque les installations de traitement des eaux présentent des dysfonctionnements, elles peuvent entrainer le rejet d’eaux usées non traitées ou partiellement traitées contaminant les milieux (notamment en cas de fortes précipitations pluviométriques).

Mauvais traitement des eaux usées et cancers

Alors, existe-t-il un lien entre le mauvais traitement des eaux usées de Saint-Éloi et les cas de cancers recensés ? La question mérite d’être posée. En effet, la zone Trangy-Rémeron, qui ne bénéficie pas du tout-à-l’égout, voit un taux de cancers significativement élevé : entre deux et trois fois plus que la norme. Or, bon nombre d’installations de cette zone sont anciennes et doivent être refaites ou rénovées.

Les sols de cette zone ne sont pas adaptés au traitement individuel des eaux usées car ils sont peu filtrants et très argileux à certains endroits. Les eaux pluviales sont mal drainées et mal collectées : il y a stagnation des sorties de fosses et, souvent, les drains d’infiltration ne fonctionnent pas correctement, même sur les installations récentes.

Une étude nationale réalisée à la demande du ministère de l’Environnement et portant sur les sols et l’assainissement non collectif insiste sur l’importance de bien étudier le terrain avant d’entreprendre quoi que ce soit : « La connaissance des sols à l’échelle du territoire et leur aptitude au traitement et à l’évacuation des eaux constitue un enjeu pour les choix présidant à l’élaboration des zonages d’assainissement ».

 Malheureusement, concernant les dernières constructions de la zone de Venille (à Saint-Éloi), sur recommandation de la mairie, ont été installés des systèmes neufs mais qui se sont colmatés rapidement, du fait des sols imperméables et de la non-évacuation des eaux pluviales. Il faut savoir que sur la zone Trangy-Rémeron-Venille-Aubeterre, l’usage des eaux des puits pour les jardins est interdit car celles-ci sont trop chargées en matières fécales. Par ailleurs, dans ces zones, de fortes odeurs se dégagent et portent des éléments pathogènes.

Des assainissements individuels qui ne sont pas aux normes

Le tout-à-l’égout a certes un coût, mais il parait aberrant de dépenser entre 10 000 et 20 000 euros pour installer ou rénover des installations individuelles (sans compter que la vidange d’une fosse septique doit être faite tous les deux ou quatre ans et coûte entre 400 et 600 euros) alors qu’un tout-à-l’égout reviendrait beaucoup moins cher par habitant, et, surtout, serait bien plus sûr pour la santé des Éligeois et Éligeoises.

Il en va de même concernant les nouvelles habitations : toute construction devrait pouvoir être raccordée au tout-à-l’égout. Développer la construction de maisons individuelles est une excellente chose, mais, pour les raisons évoquées plus haut, il est indispensable que les eaux pluviales soient canalisées et évacuées en bonne et due forme.

Dans les hameaux, certaines maisons, du fait du manque de place, ne peuvent pas installer un assainissement individuel aux normes et ne peuvent pas évacuer correctement leurs eaux pluviales. Il y a donc urgence et il faut prendre des décisions rapidement, la première étant de ne plus accepter de nouvelles constructions tant qu’il n’y a pas de tout-à-l’égout. C’est une question de sécurité sanitaire.

La priorité, dans un premier temps, est de réaliser le schéma d’écoulement des eaux pluviales et de le mettre en œuvre. Ensuite, il faudra réaliser le tout-à-l’égout et que la commune prenne en charge tous les raccordements jusqu’au pied des maisons. La zone de Trangy-Rémeron-Aubeterre est potentiellement en zone de grande insalubrité. Nous sommes à deux doigts que l’ARS (Agence Régionale de Santé) nous classe en zone d’insalubrité. Par ailleurs, il serait nécessaire que l’ARS lance une étude afin de déterminer les raisons du taux élevé de cancers.

Le scandale financier de la rue des Papillons

Il y a quelques années, Jean-Marc Duly (ancien maire de Saint-Éloi) a aménagé la rue des Papillons, un court morceau de route de quelques centaines de mètres seulement, pour un montant exorbitant de… 500 000 euros ! Qui a donc profité de cette affaire ?

Au bout de la zone industrielle Nevers-Saint-Éloi, croisant la rue de la Barbouillère (où se situe, entre autres, le centre d’appels Armatis), se trouve une petite rue : la rue des Papillons. Ce morceau de route, de quelques centaines de mètres seulement, qui possède un trottoir et plusieurs lampadaires, pourrait sembler bien banal. Seulement voilà, le coût des travaux d’aménagement, lui, l’est beaucoup moins. Car, sous le mandat de Jean-Marc Duly, la commune de Saint-Éloi a déboursé pas moins de 500 000 euros pour cette rue des Papillons.

À l’époque, lorsque le premier édile avait présenté son projet d’aménagement au conseil municipal, il avait indiqué que la commune de Saint-Éloi avancerait la somme des travaux et que la ville de Nevers s’était engagée à en rembourser la moitié (soit 250 000 euros). Un emprunt avait ainsi été contracté à un taux d’intérêt relativement élevé, représentant une annuité annuelle de plus de 50 000 euros. Cet investissement très conséquent, dont la commune a toujours la charge et l’entretien à l’heure actuelle, n’apporte rien aux habitants.

500 000 euros pour une rue, un trottoir et quelques lampadaires…

Pourquoi avoir installé des lampadaires à cet endroit alors que certaines zones habitées de Saint-Éloi n’en bénéficient pas ? Pourquoi la commune de Saint-Éloi a-t-elle supporté ces travaux alors qu’elle n’y avait aucun intérêt ? Pourquoi la ville de Nevers n’a-t-elle jamais remboursé la commune ?

500 000 euros pour une petite rue avec un trottoir et quelques lampadaires : le coût paraît exorbitant par rapport aux travaux réalisés.

Monsieur Maurice Taterczynski évoque quelque fois la rue des Papillons aux conseillers municipaux majoritaires mais il semble oublier que monsieur Jean-Marc Duly a soutenu la liste de Jérôme Malus dont il fait partie ; d’ailleurs, nous n’avons pas le souvenir que monsieur Maurice Taterczynski ait fait quoi que ce soit pour éclairer cette affaire.

Qu’a donc fait l’équipe de monsieur Malus en quatre ans afin de récupérer ces 250 000 euros ? Rien. Du côté de l’adjoint aux finances, monsieur Benoit Debruycker, c’est le silence radio. On comprend mieux pourquoi l’équipe Malus n’a pas voulu d’Éric Guérin dans la commission finance, d’autant plus que les comptes rendus de ces quatre années semblent, malheureusement, inexistants.

Le futur maire de Saint-Éloi devra retrouver l’argent de la commune

Pensez-vous Éligeois, Éligeoises, que ceci soit une bonne gestion ? Quand on rappelle l’affaire de la rue des Papillons à monsieur Daniel Legrand, adjoint dans l’équipe de monsieur Jean-Marc Duly (et censé être dans l’opposition mais qui a toujours voté pour la majorité), celui-ci a pour seule réponse : « Ah, ah, ah, la rue des Papillons ! » Déjà à l’époque de monsieur Jean-Marc Duly, la bande de conseillers béni-oui-oui avait voté sans broncher ; elle a donc aussi sa part de responsabilité.

Si un nouveau maire de Saint-Éloi est élu, et qu’il n’est pas acoquiné avec les équipes précédentes, il devra élucider ce dossier et réclamer le dû de la commune : 250 000 euros n’est pas une bagatelle. Alors, les billets se sont-ils envolés tels des papillons dans la rue du même nom ? Qui a profité de cette affaire ? Nevers, c’est certain. Jean-Marc Duly sans doute, mais par quel biais, cela reste une énigme. Toutefois, Éric Guérin, qui fait partie d’une association anti-corruption, a des pistes et des hypothèses…

Budget : des caisses vides malgré la vente de terrains

Fin 2019, la commune a certes eu des comptes bien tenus, comme cela a été dit par l’adjoint aux finances monsieur Benoit Debruycker lors d’un conseil municipal, mais celui-ci a oublié de dire que la commune a terminé l’année avec les caisses vides. Et ce malgré la vente (inappropriée et dommageable pour l’avenir de la commune) de nombreux terrains communaux qui initialement étaient prévus pour des développements économiques futurs. Il s’agit là d’une très mauvaise gestion pour l’avenir.

Quant à la manière de faire les choix des projets, on ne peut pas dire que cela provienne des commissions communales. En effet, il faut que les Éligeois et Éligoises sachent que l’adjoint aux travaux, monsieur Maurice Taterczynski, n’a jamais tenu de réunion de réflexion pour envisager des projets à moyen et court termes.

Médiathèque : un coût exorbitant pour la commune

La médiathèque de Saint-Éloi représente un investissement très important, malgré les subventions obtenues. En effet, celle-ci va entraîner un coût annuel exorbitant pour la commune par rapport au service rendu car il faut prendre en compte les trois salariés, le chauffage, l’électricité, le ménage et l’entretien des locaux.

Au total, l’investissement représente un peu plus de 500 000 euros, dont environ 200 000 euros de subventions, mais en réalité, si l’on compte tous les frais accessoires, cela va plutôt friser les 600 000 euros et les coûts annuels de fonctionnement se situeront entre 70 000 et 80 000 euros par an.

Un investissement réalisé à des fins électoralistes

Mais était-ce un choix judicieux ?  La réponse est non. Car il faut quand même que les habitants sachent que depuis que la médiathèque a été transférée près de la mairie, il n’y a quasiment plus de visites et que les bénévoles de la médiathèque n’étaient pas demandeurs d’un tel investissement. Ce dernier ne correspond pas à de réels besoins mais semble avoir été fait à des fins électoralistes.

Cette médiathèque est davantage dimensionnée pour une ville de plus de 10 000 habitants. Elle est moins fréquentée car elle est éloignée du bourg (beaucoup de personnes ne peuvent plus s’y rendre à pied). Notons par ailleurs qu’énormément d’Éligeois et Éligoises sont abonnés à la médiathèque de Nevers.

Le fait qu’elle soit utilisée par l’école est tout de même un bon point. Mais son aménagement fait que, s’il y a présence d’une classe, les personnes qui souhaiteraient lire à la médiathèque ne le peuvent pas compte tenu du bruit. Il y a donc un réel problème d’aménagement qui n’a pas été pensé correctement. Par ailleurs, avoir mis un espace jeu vidéo est-il judicieux ?

Dans tous les cas, compte tenu de cet investissement conséquent, il faut prévoir une utilisation complémentaire afin d’amortir ce coût très élevé. Il faut tout de même signaler que la plupart des communes de notre taille bénéficient d’une bibliothèque municipale entièrement gérée par des bénévoles.